lundi 19 novembre 2007

Les Nazis découvrent la bombe atomique en 1944


Les forces militaires alliées rentrent solidement en Europe continentale lorsqu’une explosion atomique rase Moscou le 29 juin 1944. Le 2 août de la même année, Londres disparaît de la carte sous un champignon gazeux.

Les États-unis demandent un cessez-le-feu. Hitler réclame le retrait des troupes alliées de toute l’Europe. Le gouvernement américain refuse et réclame vouloir conserver les territoires qu’il contrôle déjà en Europe.

Le 1 janvier 1945, un petit sous marin allemand se faufile jusqu’à la côte maritime New Yorkaise et fait exploser une bombe atomique de gros calibre près des berges. La métropole américaine est rasée ainsi que les villes environnantes.

Le congrès américain accélère la recherche dans le développement de l’arme atomique et la surveillance aérienne et maritime est décuplée afin de prévenir de nouvelles attaques.

Les allemands reprennent activement les combats en Europe en janvier 1945 et repoussent les alliés sur leurs anciennes positions.

Premier missile atomique V2 allemand lancé contre la ville de Washington en février 1945. Les tirs du nouvel armement antimissile de l’armée américaine touche le missile qui rate sa cible et termine sa course dans un champ sans exploser.

Mars 1945 : les nazis occupent la majeure partie de l’ancienne URSS mais ses régions orientales sont sous occupation japonaise.

En avril 1945, les États-unis font sauter une arme atomique sur Tokyo. Le Japon se rend.

Mai 1945 : nouveau cessez-le-feu

Berlin offre un compromis aux États-unis sur le partage du monde : à la signature de l’entente de Montréal du 13 mars 1946, les américains conservent le contrôle sur les anciennes possessions japonaises (c’est-à-dire la plus grande partie de la Chine, l’Indochine), le Japon bien sûr, le Royaume-Uni (incluant les colonies comme l’Inde, l’Australie,) et le sud de la France. De leur coté, l’Allemagne acquièrent toute l’Afrique et maintient son influence en Russie.

En 1947, les États-unis redonnent la souveraineté à tous ses territoires occupés. Par contre, les troupes américaines demeurent afin d’empêcher une invasion allemande.

1948: Un climat de guerre froide s’installe. On capte sur la côte est américaine des ondes radiophoniques dans lesquelles le Führer appelle à la destruction de l’Amérique et à la domination de la race aryenne sur tous les peuples.

En 1949 est fondé l’Alliance Asie-Europe-Amérique (AEA) qui regroupe les États-unis et tous ses alliés.

Février 1951 : On apprend que des millions de personnes auraient été exécutées ou gazées par les Nazis en Afrique du Nord. La vérité sur l’Holocauste juif et les chambres à gaz en Europe commence aussi à éclore.

La Wehrmacht attaque la Turquie sans avertissement ou provocation en juin 1951. En 5 jours, toute la Turquie est sous domination allemande.

L’alliance de l’AEA n’ose bouger. La capacité d’action est limitée et Hitler mise sur la peur de ses adversaires pour avancer encore plus au Moyen-Orient, commençant par la Turquie. Le même scénario de l’avant-guerre se répète et le Führer jubile devant la passivité de ses ennemis.

L’AEA entreprend alors un vaste programme de système antimissile et Hitler renforcie ses positions en Turquie afin d’attaquer l’Irak et possiblement l’Iran…

samedi 17 novembre 2007

Une Amérique du Nord chinoise et française


Un navire chinois découvre l’Amérique en 1299 en débarquant en Colombie-Britannique. À l’arrivée de Christophe Colomb en 1492, il y avait déjà plusieurs colonies chinoises sur la côte ouest canadienne et américaine.

Les premiers contacts des éclaireurs de la Nouvelle France avec les colons chinois eurent lieu en 1722. Des escarmouches éclatent et la métropole décide d’envoyer plus de soldats sur le territoire immense de la Nouvelle France.

La guerre de Sept Ans bat son plein, mais au lieu de la perdre, la France réussi à faire match nul contre les britanniques car ses effectifs militaires s’étaient multipliés depuis trois décennies en raison du conflit avec la Chine en Amérique de Nord. Elle conserve alors la majeure partie de ses colonies sur le nouveau continent.

Quelle est la suite?

vendredi 16 novembre 2007

L’ADQ prend le pouvoir aux élections provinciales de 2003


2003 : À la surprise de tous, Mario Dumont devient premier ministre du Québec.
Au prise avec un gouvernement majoritaire un peu vacillant et une équipe sans expérience ni contenu, le nouveau premier ministre réussi en à peine un an à se mettre à dos les groupes étudiants, les syndicats, les groupes communautaires et les féministes à la suite de coupures massives dans la fonction publique et de décrets très conservateurs.
La crise sociale atteint son paroxysme lors d’une grève générale de la FTQ et de la CSN en 2005 contre la privatisation du système de santé et d’Hydro-Québec...

Al Gore gagne la présidentielle de 2000


Avec une majorité de 50,1%, Al Gore, candidat démocrate, remporte l'élection présidentielle de 2000 contre son adversaire républicain GW Bush.
Le 11 septembre 2001, les tours du World Trade center s'effondrent en suscitant la consternation sur toute la planète...
Quelles seraient les réactions du chef des armées américaines à l'allégeance démocrate dans ce contexte?

Victoire du Oui au référendum de 1995



Quel serait l'état du Québec en 2008 si le référendum de 1995 aurait été favorable à la cause souverainiste?
Le gouvernement fédéral et le reste du Canada auraient réagi de quelle façon?
La situation économique d'un Québec souverain vivrait-t-elle alors un déclin ou une forte croissance?
Politiquement et socialement, quels choix les québécois auraient-ils pu faire sans le carcan fédéral canadien?

Un Napoléon victorieux


Napoléon réussi à dominer la Russie malgré le rude hiver.
Le blocus anglais perd en efficacité et l'Empire renforcie ses positions sur les territoires continentaux conquis.
Au printemps 1815, les troupes napoléoniennes occupent toute la Russie.
De quelle manière serait modifiée notre réalité historique suite à cet événement?